Un collectif de 6 chercheurs - urbaniste, psychologue, chronobiologiste... - parmi lesquels Claude Gronfier, chronobiologiste (WAKING CRNL), met en garde, dans une tribune au "Monde", contre les risques représentés par le recours accru au travail de nuit pendant les périodes de forte chaleur :
- Villes et bâtiments mal adaptés
- Effets négatifs avérés sur la santé (augmentation du risque de troubles du métabolisme cardiovasculaire, de la santé mentale, de la mémoire, de la cognition et de cancer et facteur de dépression saisonnière)
- Sommeil de moindre qualité la journée en raison de la chaleur plus importante la journée
- Impact sur la vie sociale et familiale et la qualité de vie au travail
Le collectif propose des mesures afin d'atténuer ces effets mais cela ne permet pas de les faire disparaitre.
"Il est utile de rappeler que le recours au travail de nuit est intrinsèquement associé à des effets négatifs sur la santé, vraisemblablement aggravés lors des vagues de chaleur."
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